L’Union Locale CGT de Pithiviers

L’Union Locale CGT de Pithiviers met en place une antenne INDECOSA CGT.

C’est quoi ? Une association loi 1901 qui assure et développe la protection, la formation, l’information et la défense des consommateurs et des locataires.

Quels domaines d’intervention : Transport, Services Publics, Banque, Energie, Environnement, Logement Santé, Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication
Ce sont des militantss CGT qui vous recevront pour vous conseiller et défendre vos droits individuels et collectifs. Des militants que la CGT a formé sur toutes ces questions.

Ils vous représenteront dans les instances auprès des pouvoirs publics.

 

Prenez Rendez-vous auprès de l’Union Locale

Par mail

ulcgtpithiviers@sfr.fr  ou  indecosapithiviers@udcgtloiret.fr

Ou tél :

02 38 30 43 45 (répondeur)

Elections des locataires HLM

15 novembre – 15 décembre 2014

Le logement est la dépense la plus importante dans votre budget, d’autant plus en période de crise.

Locataires de votre HLM, en désignant vos représentants au Conseil d’Administration, vous pourrez faire entendre votre voix auprès des responsables.
C’est le Conseil d’Administration qui fixe le montant des loyers, qui programme et réalise les réhabilitations, qui assurent le fonctionnement quotidien de cet organisme HLM.

Vous avez au sein de ce Conseil d’Administration, des représentants, des locataires élus par vous, ce qui n’est pas le cas chez les bailleurs privés.

Les élus INDECOSA-CGT, participent activement aux réunions avec une position toujours claire vis-à-vis des hausses de loyers : pas plus que l’augmentation du coût de la vie ! Dans le cas contraire, les délégués INDECOSA-CGT font part de leur opposition et votent contre, là où ils ont le droit de vote.

Avoir des élus INDÉCOSA-CGT,  a son extrême importance pour vous !

Voilà qui est un atout important pour les locataires : avoir des représentants, locataires comme eux, qui vivent le même quotidien qu’eux, qui connaissent les mêmes conditions de vie, qui sont confrontés aux mêmes problèmes, qui paient les mêmes taux de loyers et charges que leurs voisins et qui, à la réunion du Conseil d’Administration, ont le droit de parole, de proposition et même de critique et qui en usent chaque fois que l’intérêt des locataires le nécessite, sans oublier l’essentiel, le droit de vote, là où la réglementation le leur donne.

Là où INDECOSA-CGT est présente, avec son représentant, elle fait entendre cette voix des locataires, sur les problèmes quotidiens rencontrés dans nos cités, sur la nécessité de bien contenir les hausses de loyer dans le cadre des augmentations générales du coût de la vie, sur la question des réhabilitations, du renouvellement urbain.

Si une association de défense des locataires n’a pas compétence pour empêcher un renouvellement urbain, INDECOSA-CGT peut peser, au mieux, des intérêts des locataires sur les décisions de l’organisme national (l’ANRU), chargé de mener à bien cette opération car un représentant national de la CGT siège au sein de cet organisme.

Mais plus largement, l’élu INDECOSA-CGT est présent et attentif à tout ce qui fait la vie des locataires.

C’est dire l’importance du vote INDECOSA-CGT qui permettra de vous représenter

au CA pendant 4 ans.

N’oubliez pas qu’INDECOSA-CGT est plus qu’une association de défense des locataires de votre HLM.

C’est une association de défense des consommateurs salariés, retraités et privés d’emploi, compétente, et reconnue dans tous les domaines, du logement, de l’environnement, du cadre de vie, de la famille, de la consommation, et des problèmes y afférents.

Une raison de plus de voter efficace, de voter pour la liste INDECOSA-CGT.

Plus nombreux vous serez à voter INDECOSA-CGT, mieux seront défendus vos intérêts de locataires.


 

Source : http://www.indecosa.cgt.fr/

Elections des représentants des locataires

INDECOSA-CGT, une force pour défendre les intérêts des locataires

INDECOSA-CGT association de défense des consommateurs et des locataires présente des candidats aux élections des représentants des locataires de ……

INDECOSA-CGT

263, rue de Paris

93516 Montreuil Cedex

Tél. : 01 48 18 84 18

Fax : 01 48 18 84 82

indecosa@cgt.fr

www.indecosa.cgt.fr

Le but de notre association est d’assurer et développer la protection, la formation, l’information et la défense individuelle et collective des intérêts des consommateurs salariés et des locataires ainsi que de mettre en œuvre des actions consuméristes portant des valeurs sociales et environnementales.

Le logement est constitutif de la vie des salariés au même titre que l’emploi, le salaire, la retraite et la protection sociale.

Sachons que ne pas avoir de logement peut conduire rapidement à ne pas pouvoir assumer un emploi et l’inverse est aussi vrai.

La crise du logement que nous vivons aujourd’hui, résulte de 30 années de désengagement de l’État. Ils ont préféré la libéralisation du marché de l’immobilier, renversant les tendances en faveur de l’initiative privée plutôt que le logement social.

Les prix du logement (accession) ont doublé ces dernières années en entrainant d’autant les hausses de loyers.

Dans le même temps, notre pouvoir d’achat ne cesse de reculer et le poids de nos dépenses incompressibles s’accroît : loyer, transports, énergie.

 Le logement devient le premier poste des dépenses, il peut même atteindre la moitié des revenus des salariés les plus modestes.

Dans les grandes villes, la situation pour les populations les plus modestes devient dramatique et conduit parfois à vivre dans des habitats précaires en surpopulation, voire insalubres (les jeunes sont particulièrement touchés en ne trouvant pas à se loger compte tenu des emplois précaires et des prix des loyers).

Il manque 1,5 million de logements en France.

Au prétexte de trouver des solutions à cette crise du logement, le gouvernement après avoir baissé de 10% le plafond de ressources pour être éligible au logement social, entend par la voie de sa ministre ne pas renouveler le bail à tout locataire dépassant deux fois ce plafond.

 Ce qui revient à exclure du parc HLM « les moins pauvres », avec le danger d’accélérer la « ghettoïsation » des populations les plus défavorisées.

La ministre entend aussi déplacer des locataires, occupant depuis de nombreuses années leur logement au prétexte d’une sous-occupation.

Le logement est constitutif de la vie des salariés au même titre que l’emploi, le salaire, la retraite et la protection sociale.

Sachons que ne pas avoir de logement peut conduire rapidement à ne pas pouvoir assumer un emploi et l’inverse est aussi vrai.

La crise du logement que nous vivons aujourd’hui, résulte de 30 années de désengagement de l’État. Ils ont préféré la libéralisation du marché de l’immobilier, renversant les tendances en faveur de l’initiative privée plutôt que le logement social.

Les prix du logement (accession) ont doublé ces dernières années en entrainant d’autant les hausses de loyers.

Dans le même temps, notre pouvoir d’achat ne cesse de reculer et le poids de nos dépenses incompressibles s’accroît : loyer, transports, énergie.

 Le logement devient le premier poste des dépenses, il peut même atteindre la moitié des revenus des salariés les plus modestes.

Dans les grandes villes, la situation pour les populations les plus modestes devient dramatique et conduit parfois à vivre dans des habitats précaires en surpopulation, voire insalubres (les jeunes sont particulièrement touchés en ne trouvant pas à se loger compte tenu des emplois précaires et des prix des loyers).

Il manque 1,5 million de logements en France.

Au prétexte de trouver des solutions à cette crise du logement, le gouvernement après avoir baissé de 10% le plafond de ressources pour être éligible au logement social, entend par la voie de sa ministre ne pas renouveler le bail à tout locataire dépassant deux fois ce plafond.

 Ce qui revient à exclure du parc HLM « les moins pauvres », avec le danger d’accélérer la « ghettoïsation » des populations les plus défavorisées.

La ministre entend aussi déplacer des locataires, occupant depuis de nombreuses années leur logement au prétexte d’une sous-occupation. De quel droit déplacerait-on de très anciens locataires qui s’acquittent du paiement de leur loyer depuis de nombreuses années ?

La loi oblige maintenant les organismes HLM à signer avec l’État des conventions dites « d’utilité sociale ».

Avec cette loi, chaque organisme aux risques de sanctions, devra remplir les objectifs fixés de production de logements, de politique des loyers (surloyers), de ventes d’HLM…, et dépendra du bon vouloir du préfet.

Cette loi accélère le désengagement de l’État, d’ailleurs les aides au parc social ont été divisées par deux en 2009 et par trois en 2010.

Sous couvert de mutualiser les moyens, cette loi veut ponctionner les trésoreries des rares offices HLM ayant des actifs.

Les futurs élus de l’INDECOSA-CGT se présentant à vos suffrages s’engagent :

 

LES REVENDICATIONS DE VOTRE ASSOCIATION INDECOSA-CGT

  •         Nous voulons des loyers, charges comprises ne dépassant pas 20 % des ressources.
  •         Nous voulons des logements de qualité avec des matériaux de qualité, respectueux du développement durable.
  •         Nous voulons la construction de 600 000 logements sur 5 ans.
  •         Nous voulons la suppression des plafonds de ressources pour l’accès au logement des salariés,  privés d’emploi et les retraités.
  •         Nous voulons une revalorisation des allocations (logement, APL) ainsi qu’une modification de leurs conditions d’attribution, tout en garantissant leur paiement quelque soit leur montant et la situation d’impayé des loyers.

 Dans l’attente d’un retour significatif de l’aide à la pierre par l’État,

        Nous voulons un service public du logement et de l’habitat, car la réponse aux besoins ne peut pas s’accommoder de la logique de marché.

 

 

 

 

 

 

 

Les élus INDECOSA-CGT s’engagent à porter les revendications des locataires et à rendre compte de leur activité au sein des conseils d’administration !

 

Plus nombreux vous serez à voter INDECOSA-CGT, mieux seront défendus vos intérêts de locataires.

Indecosa

INDECOSA

Hausse de l’électricité

Quand l’addition de politiques aggrave les inégalités sociales ! (sic) 

Paradoxe surprenant pour certains, pur idéalisme pour d’autres, c’est sous le feu croisé de politiques libérales et d’une prise de conscience nécessaire de protéger l’environnement, qu’une nouvelle donne énergétique a considérablement bouleversé notre société en moins d’une décennie. Une des principales conséquences est l’augmentation quasi continue du prix de l’électricité. La future hausse de 3 % n’est ni plus ni moins la répercussion aux consommateurs des tarifs de rachat imposés à ERDF pour la production d’énergie solaire.

Au dire de l’ensemble des artisans de cette nouvelle donne énergétique, ces profonds changements devraient nécessairement répondre à plusieurs objectifs majeurs pour les consommateurs : • Pour les libéraux, faire baisser les prix et augmenter la qualité du service rendu. • Pour les autres, favoriser l’efficacité énergétique, l’utilisation d’énergies renouvelables et limiter fortement les émissions de gaz à effet de serre afin de sauver sur notre planète ce qui peut encore l’être.

Plus de trois années après le vote historique du 7 décembre 2006 qui autorisa l’ouverture totale des marchés du gaz et de l’électricité au 1er juillet 2007 et dans le même temps la privatisation de Gaz de France et moins de trois années après le vote non moins historique des premières mesures du grenelle de l’environnement, il apparaît clairement que la conjugaison de ces choix politiques a eu des conséquences en terme d’égalité face à l’accès à l’énergie, notamment pour les ménages les plus modestes dont le poste budgétaire représente 20 % contre 6 % pour les plus aisés.

Pour INDECOSA-CGT, le gouvernement ne doit pas interpréter le développement durable comme bon lui semble mais doit tenir compte à égalité des trois piliers qui le composent à savoir l’essor économique, la justice sociale et le respect de l’environnement.

Pour le développement des énergies renouvelables, il est impératif de développer une industrie nationale, pas simplement un marché qui utilise des produits venant d’autres pays et qui accentue le déficit de la balance commerciale de la France. Vouloir copier le modèle Allemand sans tenir compte de l’ensemble de la filière n’a pas de sens.

Permettre une meilleure lisibilité pour le consommateur en matière d’économie d’énergie : Dire que l’on a économisé 25000 KW est plus parlant que dire que l’on a économisé 1 tonne de CO2.

En matière de justice sociale, il faut arrêter la logique qui consiste à faire payer systématiquement les consommateurs domestiques pour le développement de filières qui en ce moment ne servent pas l’intérêt général. Après les fonds de pensions Canadiens pour l’Eolien, voici venu le temps des fermes solaires avec des panneaux solaires Américains (First Solar).

Montreuil, le 3 novembre 2010

Bonjour tout le monde !

Bienvenue sur le site web de l’INDECOSA 45 !